Cependant, nous déplorons de plus en plus un contexte de restrictions budgétaires, et des politiques liées à l’accueil et à l’intégration des personnes étrangères de plus en plus souvent orientées vers des publics cibles très spécifiques (les demandeurs d’asile et/ou les réfugiés, les primo-arrivants, les mineurs non accompagnés,…) ou vers des actions très spécifiques. Or ces publics ne représentent qu’une proportion de l’ensemble des personnes que nous recevons et maintes actions ne rentrent pas dans les bonnes cases de subsidiation.
Afin de conserver le degré d’indépendance dont nous avons besoin pour mener à bien notre travail social, les dons privés sont donc devenus indispensables.